
Avant d’enseigner le mouvement, Félix a appris la stabilité au cœur du chaos. Ses classes à la Brigade de Sapeurs-Pompiers de Paris l'ont façonné. C’est là qu’il a compris ce que le corps retient vraiment sous la pression : la justesse du regard, l'action nécessaire et le cap clair quand tout vacille.
Cette période a laissé une empreinte durable. Une manière de se tenir, une écoute intérieure et cette conviction simple : un corps qui tient juste permet à tout le reste de tenir.
Au fil des interventions, il a vu ce que l’absence de cadre peut provoquer. Les tensions qui s’installent, le mental qui encaisse, l’équilibre qui se déplace.
C’est là que s’est formé son regard. C’est là que s’est dessiné le début de la Maison KHAU.
Une décision à la fois, prise au bon moment.
Quand Félix quitte la Brigade, il prend une décision simple : agir avant que les corps ne cassent, avant que les vies ne s’écartent d’elles-mêmes.
Il imagine un espace où la performance cesse d'être une obligation pour devenir un axe. Un endroit où l’on revient à l’essentiel : la maîtrise, la présence et la cohérence.
Ce qu’il fonde n’est pas une méthode. C’est une Maison. Un lieu où l’on apprend à vivre avec un corps qui répond dans l’effort comme dans les journées ordinaires.
La Maison KHAU naît de cette intuition : le mouvement n’est pas un résultat, c'est un langage. Une manière de se tenir dans sa vie. Une façon de respirer, de décider et d’avancer.
Un espace pour retrouver votre axe.
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Quand Félix quitte la Brigade, il prend une décision simple : agir avant que les corps ne cassent, avant que les vies ne s’écartent d’elles-mêmes.
Il imagine un espace où la performance cesse d'être une obligation pour devenir un axe. Un endroit où l’on revient à l’essentiel : la maîtrise, la présence et la cohérence.
Ce qu’il fonde n’est pas une méthode. C’est une Maison. Un lieu où l’on apprend à vivre avec un corps qui répond dans l’effort comme dans les journées ordinaires.
La Maison KHAU naît de cette intuition : le mouvement n’est pas un résultat, c'est un langage. Une manière de se tenir dans sa vie. Une façon de respirer, de décider et d’avancer.
Un espace pour retrouver votre axe.

L'accompagnement, dans sa vision, n’est pas une suite d’exercices mais un dialogue continu. Une relation qui remet de la cohérence là où l’emploi du temps a pris le dessus.
Il observe d’abord, ajuste et tient le cadre pour que le vôtre se renforce.
Les séances rendent votre rythme lisible, même dans les semaines chargées. On avance sans excès et sans perdre le fil. La méthode s’adapte à vos départs, vos retours et vos cycles.
C’est un espace pour remettre de la respiration.
L'exigence est simple : tout doit tenir dans votre vie, et dans le temps.